Sœur Mathilde avait pêché

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il y a 6 ans

Sœur Mathilde avait pêché

Elle aurait pu soulager sa conscience auprès de l'oreille attentive et compréhensive de Sœur Stéphanie, la Mère supérieure du couvent de Carmélites dans lequel elle avait prononcé ses vœux. Mais c'est au Père Stéphane qu'elle voulait se confesser.

À seulement 23 ans, Mathilde était entrée dans les ordres à la suite d'une pénible rupture sentimentale.

Dévouée à un amant qui l'avait quittée du jour au lendemain sans jamais donner signe de vie, son hystérie fut telle, que ses parents se résignèrent à la faire hospitaliser contre son gré dans un établissement psychiatrique.

Le Père Stéphane, en lui montrant une autre façon d’éprouver et de manifester de l’amour, le chemin qui mène à Dieu, avait finalement convaincu ses parents, le corps médical, et Mathilde elle-même, de sa guérison.

Elle savait qu'elle lui devait sa "renaissance"

Jeudi - 8h00. En cette froide matinée de Novembre, Mathilde toquait à la porte du presbytère. Le Père Stéphane lui ouvrit, surprit par cette visite matinale.

"Mathilde! Quelle joie de vous revoir! Entrez!"

Les yeux de Mathilde s'écarquillaient. Elle n'avait pas revu le Père Stéphane depuis son entrée dans les ordres cinq ans plus tôt, et il n'avait pas changé.

La quarantaine, l'aumônier de l'Institution Saint Albert et de la maison des jeunes, arbitre respectable et respecté des matches de foot du dimanche après-midi, la surplombait d'une tête. C'était un homme bon. Et avec son sourire rempli d'empathie, c'était aussi un homme beau, tant à l'extérieur qu'à l'intérieur.

"Qu'est-ce qui me vaut..."

"Mon Père, je veux me confesser." Le coupa Mathilde"

"Très bien" lui répondît Père Stéphane, "Je vais aller enfiler ma chasuble, attendez-moi au confessionnal. La porte devant vous mène dans l'église."

Le Père Stéphane l'avait à peine rejointe que Mathilde se livrait.

"Pardonnez-moi mon Père parce que j'ai pêché."

"Je vous écoute ma fille"

"J'ai commis le péché de chair"

"Comment est-ce possible? Vous vivez recluse."

"Une nuit, je me suis réveillée... et ma main était entre mes jambes.

Je... Je pensais à vous."

Le Père Stéphane balbutia:

"Je sais quelles épreuves vous avez traversées. Votre inconscient vous tourmente, mais votre âme est pure. Vous réciterez deux 'Notre Père' et cinq 'Je vous salue Marie.' "

Séparée par la cloison du confessionnal, Mathilde ne pouvait voir que le Père Stéphane avait glissé sa main gauche sous sa chasuble.

Mathilde alla s'agenouiller sur un prie-Dieu face à l'autel. Alors qu'elle commençait à réciter pour la 2e fois un "Notre Père", les mains du Père Stéphane se posèrent sur ses épaules, derrière elle.

"Très bien, fermez les yeux et adressez de toutes vos f o r c e s vos pensées à notre Seigneur" lui dit Père Stéphane. Mathilde, ne perçut alors que le frôlement du Père Stéphane qui la contournait

Les yeux toujours clos, récitant à voix basse son deuxième "Je vous salue Marie", Mathilde sentit que le Père Stéphane saisissait une partie de son chapelet, le reposant sur les poignets derrière ses mains jointes en prière.

Quand il fit un tour avec pour lier ses poignets à l'accoudoir, les billes de bois verrouillèrent instantanément l'entrave : Mathilde rouvrit les yeux.

Père Stéphane avait soulevé sa chasuble sous laquelle dépassait son sexe qu'il avait certainement sorti avant de la rejoindre, quand Mathilde se confessait. Mathilde referma les yeux, totalement incrédule. Dans quel rêve était-elle cette fois ?

Tout en tenant ses épaules, le Père Stéphane, par un mouvement de bassin, faisait aller et venir son gland d'une commissure à l'autre sur les lèvres pincées de Sœur Mathilde qui leva vers Père Stéphane des yeux qui ne savaient pas ce qu'ils devaient implorer.

Mathilde sentait monter dans son entrejambe une sensation oubliée de chaleur ; tandis que la main gauche du prêtre pétrissait son sein ferme, pinçait son téton qui pointait, l'autre main caressant sa nuque. Lorsque son pouce et son index pincèrent son téton si fort, son cri fut étouffé par le pénis qui entrait dans sa bouche, tandis que la main droite du prêtre plaquait vers lui sa tête pour qu'elle avale entièrement son membre !

Mathilde ne chuchotait plus, elle priait dans sa tête malgré le trouble ressenti avec le retour de ces sensations oubliées : un homme la possédait à nouveau. Le Père Stéphane tenait sa tête entre ses mains pour mieux savourer son lent va-et-vient, une fois sur la langue, une autre contre le palais. Il avait un sexe plutôt court mais de large diamètre. Mathilde ne pouvait vraiment le voir sans loucher, mais il tenait bien dans sa bouche, et elle sentait qu'il était doux et lisse. Pourquoi était-il épilé ? Ses pensées n'étaient plus à la prière. Elle se sentait totalement mouillée et compris qu'elle désirait cette homme au moins autant qu'il la désirait.

Reculant la tête pour faire face à la virilité du prêtre, elle sortit sa langue pour lécher et embrasser un gland luisant, large mais bien proportionné ; elle aimait en faire le tour avec sa langue puis descendre jusqu'à la base de cette douce queue qui grossissait à vue d'œil. Le père Stéphane ne la possédait plus, c'est elle qui le possédait, le consommait, avec une gourmandise si visible que le Père Stéphane en rougissait !

Les lèvres de Mathilde caressaient son phallus, le bout de sa langue excitait tout la base de son gland qui était passé du rose pâle au v i o l et, quand elle reprit le membre du prêtre en bouche. Pressant ses lèvres tout autour de la verge, elle alternait les mouvements rapides et saccadés avec des pauses durant lesquelles elle gardait juste le gland en bouche, pour mieux le suçoter, en un unique mouvement de langue. Elle en profitait pour jeter un regard amusé à un Père Stéphane immobile, bouche bée à s'en décrocher la mâchoire et cramponné de chaque côté de l'accoudoir du prie-Dieu. Il n'en pouvait plus, Mathilde allait pouvoir tout goûter de lui.

Elle accéléra une dernière fois ses va-et-vient, en terminant chaque mouvement vers le haut par une légère aspiration. C'était le coup de grâce. Elle reçut comme une récompense la semence que Père Stéphane libérait dans sa bouche, tandis que son long râle résonnait dans la nef.

Son Sperme était chaud, il avait un goût aussi neutre que celui d'une hostie, sa texture épaisse et onctueuse nappait la langue de Mathilde ; et en descendant dans sa gorge il était doux comme du miel. Resserrant ses lèvres, elle gardait ce pénis prisonnier dans sa bouche pour ne rien perdre de ce divin nectar.

C'est le Père Stéphane, qui se retira. La religieuse, avec un sourire gêné allait lui dire "Je..." mais le prêtre posa l'index sur la bouche lui faisant signe de se taire : "L'amour de notre prochain nous guidera".

Père Stéphane la contourna et la fit se relever sans un mot, penchée en avant, les mains toujours ligotées par le chapelet. Mathilde était habillée en civil, avec une longue jupe droite qui descendait sous le genou. Le prêtre la remonta jusqu'à la taille et fit rapidement glisser sa culotte pour l'enlever.

Sa croupe était offerte au regard du prêtre, le joli petit cul rond d'une presque trentenaire.

Il fit glisser sa main de la nuque à l'entrejambe, caressa cette petite chatte blonde à la longue et fine pilosité, dont la douce fourrure était parfumée de la cyprine qui l'imprégnait. Sœur Mathilde reculait ses fesses vers cette main dont elle cherchait les doigts. Son état d'excitation la rendait avide. Elle voulait être prise.

Père Stéphane ne l'entendait pas ainsi, la vue et le toucher d'une femme nue étaient bien trop rares pour ne pas en profiter davantage. Ses mains se promenaient sur les seins et le ventre de la religieuse, caressaient sa toison pubienne, jouaient avec ses petites lèvres et son clitoris, qui semblaient ne jamais cesser de gonfler. Mathilde gémissait de plaisir, impatiente de recevoir davantage. Enfin, des doigts commencèrent à l'explorer. Un index, puis un majeur la fouillaient dans son intimité, parcourant les parois ruisselantes de son vagin. En appui sur le prie-Dieu, elle se cambra et écarta davantage les jambes pour leur permettre d'aller au plus profond d'elle. Malgré la fraicheur de l'église, Sœur Mathilde sentait la fièvre monter dans tout son corps.

Le prêtre introduisit alors un troisième doigt, le pouce, mais cette fois dans son anus. Alors que les trois doigts en pince allaient et venaient simultanément et de plus en plus vite dans ses deux orifices, la religieuse sentait une vague de plaisir l'envahir. Dans un râle elle criait : " Ahhhh ! Mon père ! Vous faites le bien !" et, perdant l'équilibre, failli basculer en avant dans une secousse incontrôlée de son corps électrisé par le plaisir.

C’est alors qu'elle reprenait son équilibre et son appui, les mains toujours attachées, qu'elle fut harponnée par le prêtre. Le Père Stéphane en la retenant de tomber l'avait rapidement ramenée à lui, enfin, surtout à sa queue, qui l'encula de toute sa longueur. La religieuse poussa un cri, bref. Mais le curé resta en elle, immobile, avant de la sodomiser à un rythme toujours plus soutenu. Car à la douleur vive succéda rapidement une vague de plaisir que Mathilde accompagnait par des mouvements saccadés de sa croupe, et en encourageant son partenaire : "Oui! Vas-y! Je veux que tu l'enfonces complètement! Je veux te sentir en moi! Continue!". Le prêtre allait toujours plus loin dans son cul. Son large pénis procurait à Mathilde des sensations brûlantes, intenses, et inconnues, qui se propageaient jusqu'à son sexe dont le prêtre continuait de masser un clitoris toujours plus gros.

Ils jouirent simultanément. Leurs halètements et leurs cris faisaient plus de bruits et d'échos que l'orgue.

Après un moment resté ensemble, l'un dans l'autre, silencieux, le Père Stéphane se retira. Sœur Mathilde en se retournant vit que plus rien ne transparaissait sous sa chasuble redescendue ; juste avant qu'il ne tourne les talons vers le presbytère, la laissant se détacher et se rhabiller seule.

Il fallut une dizaine de minutes à la religieuse pour reprendre ses esprits, et finir de réciter ses deux dernières prières de pénitente.

Elle sortit par la porte principale de l'église. Et alors que Sœur Mathilde s'en éloignait, Père Stéphane apparut à l'entrée de son presbytère et lui lança : "allez dans la paix du Seigneur".

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